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Beau prélude avant les Mondiaux !

 

Le Montreux Volley Masters se réjouit d’accueillir le Brésil, la Chine, l’Italie, la Russie, la Turquie, la Pologne, le Cameroun et la Suisse du 4 au 9 septembre, trois
semaines avant le début des championnats du monde féminin, agendés au Japon du 29 septembre au 20 octobre. Le changement de dates du MVM a éveillé un grand intérêt parmi les meilleures nations puisque pas moins de 14 équipes nationales souhaitaient venir à Montreux.

Avec le Brésil – vainqueur en 2017 –, la Chine, l’Italie et la Russie, ce sont quatre des sept premières équipes du ranking mondial de la FIVB qui seront présentes à la salle du Pierrier. Pour leurs coachs, le tournoi sera l’occasion d’apporter les ultimes réglages avant les Mondiaux. On peut donc penser qu’ils aligneront leurs joueuses vedettes à la salle du Pierrier, celles qui seront sur le terrain pour aller chercher une médaille mondiale au Japon. Et on associera sans autre à ces quatre « grands » du volleyball mondial féminin la Turquie de Giovanni Guidetti. Entraîneur à succès s’il en est avec l’Allemagne puis les Pays-Bas, ainsi qu’avec le club turc de Vakifbank, l’Italien tentera également de hisser l’équipe nationale turque dans le sommet de la hiérarchie mondiale. En retrait par rapport au début des années 2000, d’ailleurs nonqualifiée pour les Mondiaux, la Pologne profitera de l’occasion du MVM pour se frotter aux meilleures.

Les organisateurs du Montreux Volley Masters 2018 ont aussi choisi l’ouverture et la nouveauté en invitant, pour la première fois dans l’histoire du tournoi, une équipe africaine. Championne d’Afrique 2017 et qualifiée pour les championnats du monde du Japon, le Cameroun aura déjà un avant-goût de ce qui l’attend trois semaines plus tard

L’équipe de Suisse, elle, est apparue en progrès l’année dernière et elle viendra à Montreux pour confirmer la bonne impression laissée en juin dernier. Le départ de la capitaine Laura Künzler pour le club de première division allemande de Rote Raben Vilsbiburg – où elle a suivi l’entraîneur Timo Lippuner, qui reste coach national – symbolise le professionnalisme qui gagne le volleyball féminin helvétique.

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